Aucun produit
Commander
Savoir-faire
La création de nouvelles médailles de baptême et de bijoux est le cœur de notre métier. De là découle toute notre activité. Nous nous efforçons donc de renouveler constamment nos gammes et de proposer en permanence de nouvelles médailles dans le respect du savoir faire traditionnel. Ces créations donnent un sens profond à notre activité, mêlant savoir-faire et spiritualité, elles nous distinguent d’autres sites purement marchands.
Pour créer ses modèles exclusifs, La Couronne collabore avec des artistes avec qui elle a tissé des liens solides de confiance et de partage. Ces artistes ne sont généralement pas spécialisés dans la médaille de baptême ou le bijou religieux, mais ont un désir profond de mettre leurs techniques artistiques au service de l’art sacré. Qu’ils soient sculpteurs, graveurs, peintres, joailliers ou dessinateurs, ils se lancent dans une aventure humaine et spirituelle aux côtés de La Couronne.
Les sources d’inspiration ne manquent pas, 2000 ans d’art sacré nous offrent d’innombrables possibilités: statues, peintures, motifs sculptés, images pieuses, tout ou partie d’une toile de maître, dans la rue, dans les musées, dans les églises … Une fois repérée l’image ou la Vierge dont on aimerait faire une médaille, se pose la question de la faisabilité et de l’esthétique : une très belle statue en pied sera difficile à représenter dans son intégralité et on aura du mal à retrouver ce qui nous avait attiré dans la vue d’ensemble avec les contraintes de taille d’une médaille. C’est donc en concertation avec l’artiste, après de longs réglages et discussions passionnées que La Couronne définit le motif de la médaille à créer.
La phase suivante de la création se passe dans le secret de l’atelier de l’artiste. Là, face à son bloc de terre ou de papier, il réalise un premier support qui servira de base de travail. Ce premier support est bien plus grand que la médaille finale, pour pouvoir soigner les détails qui font la beauté du bijou. Les exigences liées à la création d’une médaille sont nombreuses et chaque détail à son importance : la hauteur du relief, les angles ou dépouilles, un bord assez large et l’espacement pour la bélière à respecter…
Cette base de travail est confrontée à notre savoir-faire de médailleur : respect des proportions, occupation de l’espace, contrainte de l’atelier de fabrication… On corrige la position d’une main, la taille de l’auréole, un détail au visage, un angle...
Une fois toutes les modifications et corrections appliquées, on lance la fabrication de la médaille, suivant le choix de la technique de fabrication du modèle : médaille estampée, fonte ou une découpe au laser pour des médailles de type Esquisse.
Reste alors à trouver un nom pour la nouvelle médaille, à la faire prendre en photo par un professionnel et à la proposer sur notre boutique en ligne ; La nouvelle médaille est créée !
Découvrez nos créations de :
Médailles de baptême estampées exclusives
Collection esquisse
Croix Arcabas
Pour arriver au bijou que vous aurez la joie de découvrir dans votre écrin, de nombreuses étapes sont nécessaires !
La première étape : trouver la source d’inspiration qui servira de base aux études préliminaires. Une fois cette inspiration trouvée, le sculpteur commence par modeler un premier relief dans de la terre ou de la cire à modeler qui a l’avantage de pouvoir recevoir de nombreuses corrections. Cette base de travail est nettement plus grande que la médaille qui sera obtenue pour travailler un maximum de détails Un plâtre est ensuite coulé à partir de ce modelage.
Une fois le plâtre final obtenu, on en fait un moulage en bronze ou en résine très dure appelé maquette (pour tenter de préserver au maximum le plâtre, très fragile). La maquette ainsi obtenue, est fixée ensuite à un tour à réduire qui reprend le principe du pantographe et qui permet de fabriquer un poinçon (ou plusieurs si on prévoit de décliner la médaille en différentes tailles).
Le poinçon, plus dur, est ensuite enfoncé dans un bloc d’acier plus tendre pour obtenir la matrice.
C’est dans cette matrice que la médaille va ensuite pouvoir être estampée par un procédé de « frappe à balancier » : une plaque d’or est placée sur la matrice est frappée de nombreuses fois par des masses.
Le bijou une fois estampé sera détouré pour enlever l’excès de métal, on pourra souder sur sa tranche supérieure un anneau pour la bélière qui permet de porter la médaille sur une chaine, ou percer la médaille pour passer directement la bélière à l’intérieur.
Vient ensuite le poinçonnage qui garantit la qualité du métal et la finition de la médaille qui peut être sablée, satinée, polie (brillante).
Pour les médailles ajourées ou découpées, de type Esquisses, Signes ou Minis, on utilise une technique de découpe au laser qui permet une très grande précision dans les détails et les ajourages.
Le dessin initial vectorisé est numérisé, l’appareil de découpe laser est ensuite programmé avec les côtes précises du bijou final. De nombreux calages sont nécessaires pour obtenir un résultat conforme aux exigences.
Les jetons sont découpés dans une feuille d’or, gravés d’un éventuel motif puis découpés au laser. Pour ce faire, on focalise un rayon laser qui chauffe la partie à ajourer jusqu'à évaporation de l’or.
Suivant le modèle programmé, ils sont ensuite percés et munis d’une bélière pour les porter sur un cordon ou une chaine de baptême puis polis pour leur donner une finition brillante ou sablés pour un aspect plus mat.
Pour terminer, les bijoux sont poinçonnés pour garantir la qualité de l’or utilisé.
Ce sont les progrès de la technologie alliés aux techniques traditionnelles de joaillerie permettent de réaliser ces gammes de bijoux modernes aux qualités de finition irréprochables.
Les médailles de baptême peuvent être réalisées suivant différentes techniques et nous vous présentons ici les caractéristiques et qualités de chaque type de médailles.
Comme son nom l’indique, la médaille frappée (ou estampée) est obtenue par un procédé de frappe à balancier : une plaque d’or est placée, après avoir été chauffée entre la matrice de la médaille (impression en négatif du motif de la médaille) et un masse.
Par un procédé de presse cadencée, la feuille d’or prend l’empreinte de la matrice et devient médaille. Plus la plaque est frappée, plus la qualité de la médaille sera grande, c’est ce qui explique la différence de prix entre une médaille de prestige (Arthus Bertrand, et une médaille classique.
Une fois frappée, la médaille est débarbée pour ôter le métal en excès, on lui ajoute une bélière et lui applique une finition (polie, sablée, …).
Les médailles estampées offrent une grande finesse et une grande qualité.
Les médailles création exclusive Maison La Couronne sont estampées.
Découvrir nos créations de médailles de baptême estampées
Il existe deux méthodes pour fabriquer une médaille fondue (ou coulée).
Le premier, qui n’est plus très utilisé à ce jour consiste à fabriquer un moule en plâtre dans lequel est gravé en creux l’image inversée du motif que l’on souhaite obtenir. L’or en fusion est coulé dans ce moule. L’inconvénient de cette technique est qu’on perd le moule après chaque réalisation.
On y a substitué un procédé dit de fonte à cire perdue qui permet de fabriquer un plus grand nombre d’exemplaires et de récupérer les matériaux du moule pour les réutiliser par la suite.
Si ces procédés permettent la fabrication de bijoux en série à un moindre coût, il faut savoir que le résultat n’égalera jamais une médaille frappée pour ce qui concerne la finesse du travail et la précision des détails.